Vous avez des suggestions d'outils, d'actions de médiation ou d'ouvrages à présenter? Vous souhaitez faire connaître les outils de médiation que vous avez créés pour en faire leur promotion? N'hésitez pas à écrire à : ressources.action.culturelle@forumculture.ch
1001 feuilles se mobilise pour l'accès à la culture et à la pratique artistique pour tous.
Au Québec, la Maison Théâtre pour l’enfance et la jeunesse a mis en œuvre depuis une dizaine d’années des programmes d’accessibilité au théâtre visant les milieux multiethniques et les milieux défavorisés. En vue de préciser les meilleures façons de rejoindre ces publics, l’organisme a requis l’expertise de chercheurs de l’INRS (Institut national de la recherche scientifique - Urbanisation, Culture et Société - Québec) spécialisés en sociologie des pratiques culturelles et des relations interculturelles. Leur mandat était de : 1) développer la compréhension qu’a l’organisme des mouvances démographique et ethnoculturelle de la métropole montréalaise; 2) analyser et évaluer les forces et faiblesses des trois programmes d’accessibilité menés actuellement par l’organisme; 3) proposer un certain nombre d’ajustements ou changements jugés nécessaires suite à l’évaluation de ces programmes; 4) éclairer l’organisme sur les pratiques actuelles en matière d’action culturelle et de développement de publics; 5) soutenir l’organisme en matière de méthode d’évaluation de ses pratiques et stratégies de diffusion auprès des milieux concernés.
Boîte à outils pour rendre votre lieu de culture accessible aux personnes handicapées. Forts de l’expérience acquise dans le cadre du projet Accès-cible de la Nuit des musées de Lausanne et Pully, l'Association de la Nuit des musées de Lausanne et Pully et Pro Infirmis Vaud ont publié un recueil de conseils, réflexions, pistes et adresses de contacts à l’attention des lieux de culture soucieux de tenir compte des besoins des personnes handicapées.
Ce guide a pour objectif d’accompagner les établissements du spectacle vivant dans leurs nouvelles responsabilités : Éclairer les enjeux liés aux questions d’accessibilité Présenter la réglementation et ses implications pour le spectacle vivant Informer sur les démarches à suivre Donner des exemples de réalisation Indiquer les ressources disponibles et favoriser ainsi une meilleure intégration des personnes handicapées dans la vie des établissements du spectacle vivant.
Comment répondre aux attentes des familles qui visitent les musées? Comment les fidéliser pour qu’elles intègrent les expériences muséales à leurs habitudes culturelles? Comment lui faire vivre une expérience réussie dans le respect de sa mission comme institution muséale? La Société des Musées du Québec a conçu des outils pour aider les professionnels de musée à améliorer l'accueil et les activités offertes aux familles. Trois professionnelles en éducation muséale qui conçoivent des expositions ou des activités pour les familles dans le domaine des arts, de l’histoire ou des sciences ont été interrogées : - Marie-Hélène Audet, chef du service à la médiation au Musée national des beaux-arts du Québec - Mélanie Deveault, chef, Action éducative, citoyenne et culturelle au Musée McCord-Stewart - Cybèle Robichaud, directrice de la programmation au Centre des sciences de Montréal.
L’association Article 27 se donne la mission de sensibiliser, de faciliter la participation culturelle pour toute personne vivant une situation sociale et/ou économique difficile. Elle agit sur le coût de l’offre via un ticket modérateur valable à Bruxelles et en Wallonie et elle mise sur l’accompagnement pour encourager l’expression critique et/ou artistique. Son travail se développe en réseau avec des partenaires sociaux, culturels et les publics.
La plateforme web des musées en Suisse réunie les activités de l'Association des musées suisses (AMS) et du Conseil international des musées Suisse (ICOM Suisse). L’AMS est l'organisation faitière des musées. Elle travaille en collaboration avec les réseaux régionaux de musées et des associations thématiques et professionnelles dans le domaine des musées. Elle est membre de Cultura, l’association faîtière des institutions culturelles suisses. Le Conseil international des musées (ICOM) est le plus grand réseau international de professionnels de musées. ICOM Suisse travaille de concert avec différents comités nationaux de l'ICOM. L'Association des musées suisses (AMS), pour sa part, collabore avec ses homologues francophones, germanophones et européens.
L’association Ecoute Voir a pour mission de favoriser l’accès de spectacles vivants aux personnes en situation de handicap sensoriel. - En organisant des activités sur mesure : pièces en audiodescription, représentations en langue des signes, visites des décors, visites des coulisses, ateliers découverte. - En apportant un soutien aux lieux qui accueillent ces événements (aide à la recherche de fonds, à la promotion et à l’organisation). - En constituant un pôle de sensibilisation et de conseils auprès des institutions théâtrales et des compagnies intéressées, ainsi qu’auprès des pouvoirs publics.
L’ASSITEJ est l’Association Internationale du Théâtre pour l'Enfance et la Jeunesse. Elle a été fondée en 1965 et est présente aujourd’hui dans tous les continents au travers de 80 centres nationaux et d’un réseau international de théâtres et de créateurs de théâtre jeune public professionnels. L’ASSITEJ entend perpétrer, développer et soutenir le théâtre pour l’enfance et la jeunessse, que ce soit à l’intérieur les différents pays ou à un niveau international.
En 2010, Danse! crée la Plateforme jurassienne de médiation en danse. Le but est de construire des ponts entre les productions artistiques et le public, faciliter l'accès à la création chorégraphique, promouvoir l'intérêt et la curiosité pour cette forme d'art et permettre une expérience personnelle.
Association active dans la diffusion et la promotion de la langue des signes
Animée par le désir de s'adresser au jeune public, la Plateforme vaudoise de médiation danse a initié en 2013 une collection appelée les Amuse-Danse. Il s'agit d'une production de jeux qui invitent au mouvement calquée sur les jeux anciens préfigurant le cinéma. Ces jeux sont à fabriquer soi-même lors d'ateliers jeune public par exemple ou de tables à bricole.
Depuis 2005, dans l’agglomération lyonnaise, une fédération d’éducation populaire, les Francas du Rhône, anime un réseau associant, dans la réflexion comme dans l’action, des médiateurs œuvrant au sein des principales institutions culturelles de la métropole et des animateurs socio-éducatifs issus de ce même territoire. Conçu par ce réseau, le livre Au beau milieu revient sur certains des projets menés en commun et rassemble les réflexions qu’ils ont inspirées à leurs protagonistes ; structuré à partir des trois notions-clés de territoire, d’expérience et d’alliance, il témoigne de l’obsolescence de la vieille scission entre culture et éducation populaire, et souligne la fécondité d’une telle coopération, si atypique au pays d’André Malraux. Au moment où les politiques culturelles – avec la territorialisation croissante de l’action publique et l’essor de la notion de droits culturels – connaissent une mutation historique, il montre aussi que la mise en œuvre d’une démarche transversale et interprofessionnelle constitue, pour un territoire, un atout certain autant qu’un enjeu démocratique.
Pour accompagner la visite des enfants (4-12 ans) dans les musées et centres de sciences, les services des publics diversifient leur offre de documents. La principale difficulté pour les concepteurs de ces outils est de répondre de manière adaptée à la diversité de ce public : des centres d’intérêt en constante évolution, une maitrise de la lecture variable, un cadre de visite familial ou scolaire, etc. L’introduction d’une dimension ludique peut concilier didactique et récréatif.
Le musée n’échappe pas à la tendance ludique qui traverse actuellement de nombreux champs d’activités. Il est de plus en plus courant d’y entendre parler de médiation ludique, de gamification, de serious game, etc. De quoi s’agit-il ? Quelle est la place du numérique dans ce champ ? Quels rapports aux objets, aux savoirs, aux publics, ces formes de médiation privilégient-elles ?
Aujourd’hui, les institutions muséales proposent de nombreuses activités de médiation destinées aux enfants. Pour adapter cette offre à chaque âge et chaque contexte de visite, qu’il soit de loisir, scolaire, familial, les concepteurs d’expositions et d’activités doivent prendre en compte diverses dimensions : le rôle et la place du jeune public dans les espaces d’exposition, notamment en visite scolaire, l’apprentissage enfantin formel et informel et la vulgarisation des sciences. Mise à disposition de photocopies par envoi postal. Ecrire à documentation.ocim@u-bourgogne.fr
Les bibliothèques, qu’elles soient universitaires ou territoriales, élargissent de plus en plus leurs propositions d’action culturelle à des expositions, intégrées dans la stratégie propre de la bibliothèque ou liées au territoire, sans que celles-ci soient en lien avec les ressources qu’elles offrent. En améliorant la médiation et la diffusion des contenus des expositions, elles visent ainsi à toucher de nouveaux publics qui ne sont pas toujours usagers du service.
Quinze ans après leur définition, les concepts de médiation culturelle et artistique ont été théorisés et se sont développés. Cette évolution nécessite une réflexion permanente sur les pratiques et outils qui conditionnent leur action. On s’interroge aujourd’hui, quelles pratiques et outils innovants mobiliser pour des actions de médiation culturelle et artistique de qualité ?
La fonction de médiation est considérée aujourd’hui comme indispensable dans toutes les institutions culturelles et patrimoniales. Entre mutualisation et externalisation de certaines professions muséales, que devient le métier du médiateur culturel ? Quelles sont ses fonctions aujourd’hui ? Comment évoluent les compétences des médiateurs dans le contexte du développement du numérique et des enjeux sociétaux?
Dès sa rencontre avec les visiteurs, le médiateur propose un mode relationnel et invente avec eux un espace de représentation et d’échange. Utilisant différents moyens tels que la voix, le geste, le regard ou la position du corps, il construit l’acte de médiation en interaction avec des visiteurs variés pour mieux partager un contenu scientifique.
Voici le budget pour le dépôt de dossiers relatifs aux appels à projets de la commission temporaire du fOrum culture.
Voici un exemple de budget type réalisé pour la commission création/diffusion, qui reprend en grande partie les documents réalisés par la CORODIS ansi que la Loterie Romande, qui prend en compte tant l'aspect 'création' que l'aspect 'tournée' d'une production.
Budget type pour une création dans les arts de la scène.
Cette charte clarifie les principes que s’engagent à défendre les médiatrices et médiateurs culturels engagés au sein de la commission actiOn culturelle du fOrum culture, ainsi que celles et ceux qui répondent aux appels à projets proposés par la commission.
La volonté d’élaborer cette charte répond à la nécessité de poser des fondements. La notion de médiation culturelle traverse aujourd’hui différents secteurs et est employée par de nombreux professionnels. Il apparaît cependant qu’elle reste ambigüe et qu’elle ne présente pas le même sens selon les contextes et les usages. Il semble donc nécessaire de poser les bases d’une approche partagée, et de dégager des valeurs communes appuyées sur un faisceau d’éléments analytiques et critiques nourris de nos expériences.
Voici un précieux documents détaillant point par point le processus de création et de développement d'un projet. Il explore notamment les questions de stratégie, de ressources humaines, de recherche de fonds, de communication, ...
Vous croyez ne rien savoir en matière d'arts plastiques. Vous allez découvrir grâce à ce petit livre que le monde de l'art ou celui des musées n'est pas aussi inaccessible que vous l'imaginiez ! Conçu pour être lu sans connaissances particulières ni en art ni en pédagogie, utilisant le vocabulaire de tous les jours, ce manuel nouvelle génération n'a qu'un but vous permettre, ainsi qu'à vos enfants, d'appréhender à peinture non par obligation, mais par plaisir.
'La peinture s'apprend dans les musées', disait Renoir. Mais une fois à l'intérieur, c'est plus facile à dire qu'à faire. Que penser d'une oeuvre dont le cartel annonce 'Sans titre, 1973' ? Où regarder quand au détour d'une allée un sexe peint, magnifiquement certes, mais tout de même offert, surgit dans votre champ de vision ? Et comment réagir quand un gardien de musée vous regarde fixement alors que, non, vous ne comptiez pas partir avec La Joconde sous le bras ? Comment visiter un musée renouvelle la manière d'appréhender les lieux d'exposition. Que vous soyez un habitué ou un parfait novice, il vous révèle la pertinence et l'absurde des conventions muséales.
Connecting Kids to History with Museum Exhibitions should mark an important shift in how scholars and historians from a variety of fields think about children's interaction with historical subjects in museum settings. Although written with museum professionals in mind, the thirteen chapters that comprise the book will be of interest to anyone who works with children or studies how they learn and experience history. From the chapters on educational theory that begin the book, through the middle section which explores the role of play, story, and imagination, to the final segment which offers realistic and practical advice on everything from exhibition design to label-writing, each of the writers keeps kids at the center of his or her argument. Children are not an afterthought here, nor a passive audience, nor are the ideas about how to reach them add-ons or footnotes, rather children are viewed as partners and collaborators in making meaning in museum settings. Several authors make convincing arguments that children must be involved in museums and exhibitions from the earliest planning stages, regardless of whether the exhibition is one that is traditionally thought of as children's fare. They argue that museums are unique sites which offer important opportunities for multi-generational learning.
Un exemple de contrat de mandat, qui nécessite d'être adapté en fonction des spécificités de chaque structure et de chaque cas.
Un exemple de contrat de travail, qui nécessite d'être adapté en fonction des spécificités de chaque structure et de chaque cas.
Un exemple de contrat de travail, qui nécessite d'être adapté en fonction des spécificités de chaque structure et de chaque cas.
L'art contemporain est généralement abordé du point de vue de la création ou de sa mise en exposition, plus rarement du point de vue de ses médiations. Certes, chacun connaît les approches sociologiques de sa réception, notamment celle de Nathalie Heinich, mais ce qui est présenté ici explore plutôt ce qui se situe « entre » l'art contemporain et les visiteurs. C'est en cela que réside la nouveauté de l'approche. Probablement, est-ce la raison pour laquelle les auteurs sont pour la plupart de jeunes chercheurs... À noter que ce dossier sur « Les Médiations de l'art contemporain » est complété d'un Point de vue de Christian Bernard, concepteur et directeur du musée d'Art moderne et contemporain de Genève, sur « Que peut-on communiquer d'une œuvre d'art ? », ainsi que d'une bibliographie préparée par Anne Raffin et placée dans les Nouvelles.
Le portail officiel de la culture en fédération Wallonie-Bruxelles est pluridisciplinaire et très complet : actualités, emplois, formations, appels à projets, publications etc.
Qu’est-ce que l’éducation non formelle (ENF) ? Cet ouvrage permet de le découvrir et de comprendre en quoi l’ENF se distingue de l’enseignement scolaire officiel dans les domaines de la culture et de l’éducation. L’éducation non formelle prend la forme d’actes volontaires effectués dans la période de loisirs, sans programme imposé et sans contrôle ni évaluation. Elle est un irremplaçable moyen d’enrichissement intellectuel et affectif chez les individus et les groupes sociaux. Elle couvre un secteur extrêmement large et dispose de moyens remarquables, tels ceux des industries culturelles, ce qui permet au livre, au cinéma, à la télévision, aux musées et bien sûr au réseau Internet de toucher une masse considérable de personnes et d’exercer, parfois implicitement, un effet continu d’acculturation. Ce volume, rédigé par des chercheurs en communication, s’adresse aux professionnels de l’éducation non formelle et notamment à ceux de la médiation, aux enseignants, aux amateurs autodidactes et aux spécialistes de la pédagogie. Premier ouvrage en français sur le sujet, il ouvre de nouvelles voies de réflexion aux étudiants et aux chercheurs.
Culture pour tous est un organisme à but non lucratif, qui a pour mission de promouvoir et de favoriser la démocratisation des arts et de la culture au Québec.
Data-danse est une plateforme numérique interactive créée pour guider le spectateur, de 8 à 99 ans, dans sa découverte de la danse. En libre accès sur internet, intuitive et ludique, Data-danse s’utilise de manière autonome ou accompagnée par un médiateur, un enseignant, un animateur, etc. De multiples informations concernant le monde de la danse y sont contenues (les lieux, le corps, les métiers, le vocabulaire, les repères). À partir des éléments récoltés, Data-danse conduit le spectateur dans le récit de sa propre expérience jusqu’à proposer l’édition d’une Une de journal.
Dériver est un essai en médiation culturelle fondé sur une analyse de terrain. Dans le cadre de ses fonctions au sein de l’Association vaudoise de danse contemporaine, Raphaëlle Renken, soucieuse de bouleverser ses propres modes de faire après plusieurs années de pratique, livre ici un essai engagé pour que d’autres soient portés par l’envie d’inventer de nouveaux usages. Le livre revient sur une expérience radio issue d’un laboratoire en médiation culturelle. Portée par la question de la place des usagers au sein des institutions théâtrales, l’auteure observe durant plusieurs mois l’éclosion de cette radio culturelle. Elle y décèle des éléments qui permettent de construire un imaginaire du spectateur fertile pour la médiation culturelle et livre une analyse enrichie par la lecture des philosophes John Dewey et Jacques Rancière. Un éloge de l’autonomie du spectateur, du respect et de la confiance où la qualité de l’expérience est centrale. Une invitation à la dérive dans un domaine en pleine mutation.
Cette brochure présente les conditions requises et les notions essentielles pour des musées accessibles à tous. Viennent ensuite des recommandations concrètes pour les domaines de l’infrastructure, des services aux visiteurs, de l’exposition et de la médiation culturelle. Des exemples provenant de différents musées suisses donnent des idées de réalisation possibles pour les différents domaines et complètent les informations dans une perspective pratique.
L'association a pour but d’aider les personnes aveugles ou malvoyantes dans leur vie culturelle, en développant la pratique de l’audio-description.
En France voisine, l’École de la médiation est un projet pluri partenarial coordonné par Universcience. Elle développe une offre de formation continue à destination des médiatrices et médiateurs scientifiques, elle réalise une veille sur les pratiques métier et valorise le métier.
La collaboration entre école et musée est une histoire ancienne. Mais aujourd'hui sous la pression des changements sociaux et technologiques, l'école cherche les confrontations nouvelles qui éclaireraient le sens des apprentissages programmés, pendant que les musées se veulent des lieux d'éducation à l'encontre de l'hégémonie culturelle qui dicterait à la société des interprétations de l'époque. Se dessine donc une situation nouvelle « d'expérience sociale » au cours de laquelle la médiation culturelle et didactique entre les enseignants, les intervenants des musées et les élèves, contribue à l'émergence d'un espace de coéducation. Cependant, au sortir des actions conduites en commun, l'insatisfaction des acteurs transparaît souvent dans leurs discours : le service du musée « imposerait » le clef en mains, l'école « transporterait » avec elle ses modes pédagogiques, l'enseignant se « déchargerait » de ses élèves, l'intervenant délivrerait un discours magistral « inadapté » au jeune public...
Les visites scolaires au musée signifient la rencontre entre deux institutions de transmission culturelle majeures de notre société. Bien que l’école encourage et valorise les déplacements au musée, rien dans le programme scolaire n’oblige un enseignant à se rendre dans ces espaces patrimoniaux. Dès lors, le choix d’aller ou non au musée avec sa classe incombe généralement à l’enseignant. Quel sens donner à ces sorties hors les murs de l’école ? Comment les enseignants conçoivent-ils la complémentarité entre l’école et le musée ? Au carrefour des sciences de l’éducation, de l’ethnologie et de la muséologie, cet ouvrage propose à la fois une réflexion théorique sur le rapport école-musée et une analyse du discours d’enseignantes à propos de leurs pratiques de visites au Musée d’ethnographie de Genève (MEG) et sur leurs représentations de l’institution. Quels objectifs les enseignantes associent-elles à une visite scolaire dans ce musée ? Inscrivent-elles la visite dans une démarche d’« apprentissage de la diversité culturelle » ? Au demeurant, que signifie et qu’implique « apprendre la diversité culturelle » ?
Cet ouvrage est l’émanation des réflexions menées au sein du groupe de travail « Améliorer l’accueil des publics handicapés mentaux » de la mission Culture et Handicap (créé en 2004), avec la participation d’associations représentatives de personnes handicapées mentales, d’associations organisatrices de sorties culturelles et d’institutions ou structures d’accueil ayant une pratique régulière d’activités destinées à ce public. Il est conçu comme un véritable outil d’aide à la décision pour faciliter la mise en place de projets adaptés à l’accueil des personnes déficientes intellectuelles dans les établissements et structures culturelles – musées, patrimoine monumental et architectural, spectacle vivant, médiathèques, etc. Le guide s’appuie sur une approche concrète, ancrée dans les réalités de métiers et de terrain pour permettre de comprendre les spécificités du public visé, de développer des outils méthodologiques adaptés et de modéliser les pratiques. Son objectif est de faire circuler l’information auprès du plus grand nombre d’établissements recevant du public, que ces établissements aient un caractère culturel ou non.
L’École de la médiation est un projet pluri partenarial coordonné par Universcience. Elle développe une offre de formation continue à destination des médiatrices et médiateurs scientifiques en France, elle réalise une veille sur les pratiques métier et valorise le métier.
La question de la médiation culturelle est essentielles dans l’analyse des pratiques culturelles et du fonctionnement des institutions culturelles.
Dans les musées français, les médiateurs, conférenciers et animateurs accompagnent les visiteurs et les aident à observer, comprendre et interpréter les œuvres d'art et les objets de culture. L'image séduisante de ce métier qui attire chaque année des milliers de candidats contraste cependant avec le malaise professionnel qu'expriment celles et ceux qui l'exercent. Cet ouvrage explore le hiatus entre la noblesse d'une mission de service public et la position fragile du médiateur au sein de l'organisation du travail culturel. L'enquête s'appuie sur différentes sources : une centaine d'entretiens auprès de professionnels des musées, l'exploration des archives des musées nationaux et l'analyse du recensement administratif des personnels des services des publics réalisée par la Direction des musées de France.
Un exemple de fiche de salaire, qui se doit d'être adapté aux spécificités de chaque structure et de chaque cas.
La médiation culturelle est un mode d’intervention de plus en plus répandu dans le champ socioculturel. En faire l’expérience critique, c’est la mettre à l’épreuve, dans ses théories et ses pratiques. En quoi les critiques adressées à la médiation permettent-elles d’en repousser ses limites ? Ses valeurs et ses répertoires d’action peuvent-ils contribuer à transformer les rapports sociaux ? Cet ouvrage collectif propose de réévaluer les ancrages de la médiation culturelle face aux transformations récentes de la société, de la culture et du capitalisme. Il regroupe des contributions de chercheurs québécois et européens qui questionnent ses fondements institutionnels, sa praxis et ses discours. S’il n’existe pas de consensus autour de la définition de la médiation culturelle, les tensions qui l’animent permettent de repenser l’intervention socioculturelle aujourd’hui.
Exposcope est un blog rédigé par des étudiantes, pour tout étudiant ou amateur souhaitant enrichir ses exemples de médiation culturelle. Il s’agit de démultiplier les regards, et d’échanger nos analyses sur les dispositifs que nous avons croisé lors de nos visites. C’est en quelque sorte une banque d’outils de médiation.
Un des enjeux majeurs du ministère de la Culture et de la Communication est de favoriser le principe d’autonomie du visiteur dans son accès aux sites, aux espaces mais aussi aux contenus culturels qui lui sont proposés. Chacun, quels que soient ses besoins, ses modes d’appréhension et ses capacités, doit pouvoir accéder à notre patrimoine commun. Ce guide gratuit s’adresse à l’ensemble des acteurs, qu’ils soient maîtres d’ouvrage ou maîtres d’œuvre, chargés de la conception d’expositions permanentes ou temporaires ainsi que des parcours de visites, dans tous types d’établissements et de sites culturels : musée, monument, bibliothèque, centre d’interprétation et d’animation du patrimoine, site archéologique ou naturel… L’ouvrage a pour objectif d’apporter des clés méthodologiques aux commissaires d’exposition, conservateurs, architectes et scénographes, programmateurs, chefs de services des publics et coordinateurs de projets de médiation, correspondants handicap dans les institutions... Il recense un certain nombre de cas concrets qui illustrent en quoi le mobilier, l’éclairage, le graphisme et la signalétique, les objets exposés et les dispositifs numériques et multimédias sont constitutifs, dans une approche multi-sensorielle, d’une accessibilité réussie.
Fiche technique Ancien Stand à Moutier
Fiches techniques des centres culturels et théâtres du territoire
Voici le formulaire pour le dépôt de dossiers relatifs aux appels à projets de la commission temporaire du fOrum culture.
Formulaire à compléter dans le cadre de l'appel à projets de création 2025-2026
L’accès à la culture et aux pratiques artistiques est un droit pour tous. Et pour les personnes handicapées mentales ? Ce guide, édité par l’Unapei, s’adresse à tous ceux qui accompagnent les personnes déficientes intellectuelles au quotidien.
Ce Guide d’accompagnement général est une mine de bonnes idées et de bons conseils pour faire d'une sortie culturelle une expérience positive. Initialement crée à destination des enseignants, il constitue une très bonne base pour les médiateurs.trices issus du spectacle vivant.
Ce Guide d’accompagnement général est une mine de bonnes idées et de bons conseils pour faire d'une sortie culturelle une expérience positive. Initialement crée à destination des enseignants, il constitue une très bonne base pour les médiateurs.trices issus du monde des arts visuels.
Ce Guide d’accompagnement général est une mine de bonnes idées et de bons conseils pour faire d'une sortie culturelle une expérience positive. Initialement crée à destination des enseignants, il constitue une très bonne base pour les médiateurs.trices issus du monde muséal et patrimonial.
Le ministère de la Culture et de la Communication inaugure avec cet ouvrage une série de guides pratiques de l’accessibilité destinés aux professionnels du secteur culturel.
HandyBook est un livre qui s'adresse aux personnes travaillant avec des publics aux besoins spécifiques. Des considérations générales sur le métier de médiateur culturel abordent aussi bien les qualités nécessaires à cette profession que le rôle de celle-ci dans la société actuelle. Cet ouvrage propose des orientations méthodologiques fondées sur des réflexions et de nombreuses expériences menées avec les différents handicaps. Ces derniers sont traités par grands types permettant de mettre en évidence les procédés et les outils les plus importants auxquels recourir lors des médiations culturelles de préférence muséales.
Par quoi commencer ? Que faut-il dire, expliquer ? A partir de quel âge peut-on emmener les enfants au musée ? Marie Sellier auteure d’une quarantaine de livres d’initiation à l’art répond à nos questions.
Le Serious Game, c’est l’idée d’associer au jeu vidéo la possibilité de diffuser des messages, de dispenser des entraînements ou encore de permettre la collecte de données. Les segments de marchés visés sont variés : formation, santé, défense, communication, politique... Les auteurs exposent une définition du Serious Game, relatent son histoire, recensent les principaux segments de marché, présentent des titres phares et déterminent s’il s’agit d’une innovation technologique ou d’une évolution des usages. Enfin, la parole est laissée à plus de 60 acteurs du secteur : industriels, consultants, concepteurs, clients...
L'association vaudoise « L’Art d’Inclure » a pour but de rendre la culture accessible aux personnes en situation de handicap visuel, de surdicécité et à tout public intéressé. L'association propose des visites guidées et adaptées de musées ainsi que d'autres activités culturelles, à raison d'une sortie par mois. Elle propose également des sensibilisations aux personnes sans handicap visuel.
La Lucarne est une association pour la médiation culturelle dont l'objectif est de dynamiser la médiation culturelle en créant et proposant des actions ciblées. Elle est active dans toute la Suisse ainsi qu'en France. Nous nous engageons avec des institutions, des associations ou des structures privées pour lesquelles nous développons, coordonnons et animons des actions ou établissons des supports qui mettent en lien des institutions, des collections, des pièces de théâtre, des créations, etc. avec tous les types de public. Nous constituons un pont vers la culture, au sens large de ce terme. La Lucarne réunit une large équipe de médiateurs culturels et de spécialistes formés à travailler avec toutes catégories de publics et ayant pour feuille de route une éthique professionnelle et un engagement indéfectibles au service de la participation culturelle.
Ces actes font le point sur une profession en devenir, qui se cherche, se construit, et dont les rouages et le statut manquent encore de clarté pour nombre d'acteurs professionnels. En mettant en lumière les spécificités du médiateur et en les confrontant à ses ambigüités, les articles de ce livre tentent d'élaborer une définition originale de la médiation, d'en enrichir le concept, d'en interroger le sens et d'en saisir les zones d'ombre. Chacun d'eux, à sa manière et en écho aux autres, cherche à répondre à la question, simple mais essentielle : qu'est-ce que la médiation aujourd'hui ?
Quel point commun entre la visite guidée d’une exposition d’art contemporain, un atelier d’initiation à la musique baroque organisé au cours d’un festival et un ciné-club de quartier ? Le médiateur culturel. Son rôle ? La transmission. Sa raison d’être ? Permettre au plus grand nombre d’avoir accès à l’art. Pendant longtemps, la médiation culturelle est restée informelle. Aujourd’hui, elle se professionnalise. Bruno Nassim Aboudrar et François Mairesse dressent le portrait d’un acteur méconnu et pourtant indispensable à la démocratisation de la culture où l’on verra que ce métier, au cœur des questions sociales, politiques et économiques contemporaines.
La médiation est présente dans bien des domaines, mais le secteur culturel lui réserve une place particulière tant celle-ci est constitutive de son action. Associée à une volonté de démocratisation, la médiation culturelle repose sur le partage, avec le plus grand nombre, d’œuvres artistiques et de savoirs produits par les sciences. Le public se trouve de ce fait placé au cœur de tous les domaines culturels, du spectacle vivant et des musées, comme des bibliothèques et des archives, de la création contemporaine comme du champ patrimonial. Qu’il s’agisse de transmettre, de générer des relations, de favoriser le dialogue, ou de créer, l’efficacité de la communication avec les différents publics repose sur un ensemble de techniques qui varient selon les enjeux et découlent d’une histoire complexe. Cet ouvrage revient sur les fondamentaux, les impératifs, les champs disciplinaires que convoquent la médiation culturelle et les techniques nécessaires pour la mettre en œuvre. Il donne les clés pour déployer une action culturelle pertinente.
Cet essai analyse les langages que se donne la société pour se représenter elle-même dans les spectacles et dans les pratiques artistiques, dans ses monuments, dans son architecture et dans ses œuvres d'art. Mais la médiation culturelle ne s'inscrit pas seulement dans des pratiques et dans des œuvres : elle s'inscrit aussi dans des logiques politiques et dans des logiques institutionnelles.
Conjuguant débats théoriques et études de cas, cet ouvrage aborde les principaux enjeux que soulève la médiation culturelle à partir d’une approche sociohistorique. Le volet historique retrace les conditions d’émergence des pratiques et du concept de médiation culturelle au Québec, liées à la transformation des politiques et des pratiques culturelles. Le volet social dépeint les dispositifs de médiation mis en place et dégage les principaux défis auxquels font actuellement face les médiateurs culturels, incluant l’évaluation de leur action.
Plus de quinze ans après la définition du concept de médiation culturelle, celui-ci a acquis une reconnaissance incontestable. Aujourd'hui, il n'est plus possible d'envisager un projet à vocation scientifique et/ou culturelle sans un volet consacré à la médiation. Quelles avancées et quelles dérives a rencontré le concept devenu désormais une discipline enseignée ? À travers une série de contributions, voici un portrait à multiples facettes de la médiation, ses extensions et, en creux, un état des questions en cours.
Les projets participatifs du Théâtre les Tanneurs se révèlent singuliers voire même uniques dans le champ des partenariats entre institutions culturelles et institutions sociales tant par leur conjugaison autour de la programmation artistique annuelle que par l’idée que la médiation culturelle – loin de se cantonner à n’être que le moyen de favoriser une meilleure réception des œuvres – doit bien sûr permettre l’accès à la vision et la critique desdites œuvres mais aussi encourager à la création, au montage et au fait de jouer une œuvre et ce, peut-être même avant toute autre chose. En effet, vivre une expérience artistique de long-terme dans l’espace-temps privilégié sinon « suspendu » d’une scène de théâtre ou d’un atelier permet de se départir de ses rôles, statuts et position sociale, et ce faisant, de pouvoir s’imaginer d’autres possibles, d’errer dans de nouveaux imaginaires et, par-là, de créer les conditions de son émancipation. Cela se vérifiant encore plus si l’on prend en compte les participants les plus précarisés.
La question de la médiation culturelle, c’est-à-dire de la relation entre les institutions culturelles, les productions artistiques et leur public n’est pas nouvelle, mais elle a beaucoup évolué ces quinze dernières années. Dans une première édition publiée en 1999 (Pour une éthique de la médiation), Jean Caune abordait le thème de la médiation sous un angle théorique et essayait de comprendre comment cette notion devenait un enjeu important pour les politiques publiques. Reprenant et complétant ici cette vision généraliste, l’auteur s’appuie sur les approches théoriques interdisciplinaires de la médiation, et tente de la contextualiser sur les plans social et politique à partir des questions posées par la société d’aujourd’hui : comment faire cohabiter des populations d’âge différent, de cultures différentes, au travers des productions artistiques ? Au-delà de l’accompagnement de la rencontre avec les processus artistiques, la médiation culturelle doit jouer un rôle essentiel dans la prise en charge du thème du « Vivre-ensemble » qui émerge dans les discours publics. Ce dernier risque de se réduire à un cliché s’il n’est pas problématisé à travers l’articulation entre une dimension relationnelle – qui est de l’ordre de l’éthique – et une dimension sensible : l’expérience esthétique.
La médiation culturelle s’impose comme le modèle d’action privilégié au Québec depuis une décennie. Permettant de jeter des ponts entre l’art, la culture et la société, elle favorise la participation culturelle, mais aussi la culture de la participation. Les milieux institutionnels l’adoptent afin d’étendre leur audience, alors que les milieux socioartistiques s’en servent pour mieux œuvrer au renforcement de la citoyenneté. Dans notre société du spectacle et des identités, la médiation culturelle peut soutenir la mise en commun des références culturelles et l’invention de nouvelles solidarités : elle établit une relation de qualité entre les publics et les œuvres légitimes et développe les moyens de l’épanouissement légitime des populations.
Qu’est-ce que la médiation culturelle? Quels sont ses origines et ses impacts? Qui sont les médiateurs et à quels milieux s’adressent-ils? Autant de questions auxquelles répond La médiation culturelle en questions.
Ce lexique résulte d’une commande passée par Culture pour tous à la suite d’un constat simple : nous éprouvons tous, professionnels de la médiation, le besoin de définir et de situer nos pratiques, et ce, malgré la diversité de nos expériences. L’objet de la commande était donc à la fois très simple mais tout aussi délicat: constituer un document de références qui pourrait servir à l’ensemble des praticiens de la médiation.
« Intermédiaire », « trait d’union », « art de l’entre-deux »… la médiation culturelle s’est inscrite, dès les années 80, dans une intention politique forte pour refonder sur d’autres bases le paradigme de la démocratisation culturelle en visant la mise en relation et la réduction de l’écart entre les personnes et les oeuvres. Force est de constater que la médiation culturelle s’est considérablement développée à la fois en tant que compétence au sein des institutions culturelles, avec l’embauche de personnels dédiés, mais aussi en tant que démarche dans le travail des artistes et des acteurs culturels. Où en est-on aujourd’hui ? Quels sont les nouveaux défis que doivent relever les institutions culturelles dans leur relation aux publics et plus généralement à la population ? La profession de médiateur culturel est-elle pleinement et suffisamment reconnue ? En quoi une médiation de pair à pair change-t-elle la donne ? C’est à l’ensemble de ces questions qu’a souhaité s’intéresser ce dossier de L’Observatoire en convoquant des regards différenciés sur les pratiques de médiation dans l’éventail le plus large possible : musée, spectacle vivant, arts plastiques, arts de la rue, lecture publique, culture scientifique et technique…, en France comme à l’étranger, mais aussi en donnant la parole aux chercheurs, aux collectivités publiques, aux artistes et aux acteurs culturels pour nous faire part des problématiques contemporaines qui invitent à faire bouger le curseur. Par exemple, celle des droits culturels qui stimule une conception de la médiation centrée sur la participation et la capacitation des personnes dans leur appropriation de la culture. Celle du numérique qui ouvre de nouvelles perspectives dans la possibilité d’être auteur, de produire des savoirs, d’inventer des pratiques et de construire des médiations horizontales. Ou encore, celle des « communs » qui valorisent l’intelligence collective et le faire ensemble. Autant de paramètres qui viennent bousculer cette notion d’« intermédiaire » encore très fortement attachée à notre conception de la médiation culturelle.
Afin de poursuivre nos réflexions sur les mises en scène et mises en représentation du patrimoine, nous proposons aujourd’hui un nouveau dialogue avec un professionnel aguerri à ces pratiques communicationnelles au sein d’une institution quelque peu différente de celles à qui nous avons pour l’instant donné la parole puisqu’il s’agit d’un centre de culture scientifique et technique. Si pour les bordelais, Cap Sciences représente avant tout un vaste espace muséographique installé sur les quais de la Garonne depuis 1995, beaucoup ignorent que cette structure pilote également le réseau aquitain des acteurs de la culture scientifique tout en assurant des missions de conseils auprès d’autres institutions culturelles.
La notion de médiation culturelle s’est institutionnalisée dans le monde culturel et dans le monde universitaire. Son analyse concerne la situation de médiation et le système de médiations comme répertoire d’actions, ce qui engage deux dimensions : la dimension historique et la dimension politique. Il est donc nécessaire, tant dans la recherche que dans les formations, de maintenir une distance critique envers certaines conceptions mythiques de la notion.
Comme la cuisine, la médiation est un subtil mélange d'art, d'amour et de technique dont il faut savoir maîtriser toutes les composantes, équilibrer toutes les saveurs. Une médiation scientifique de qualité nécessite d'adopter une démarche réflexive, qui interroge ses objectifs à l'aune des attentes et des besoins de ses publics. Cette réflexivité est pourtant parfois difficile à atteindre, car elle suppose d'accepter de remettre en question nos approches spontanées et intuitives. Grâce à la moulinette, mettez en pièce votre projet ou votre idée d'activité, interrogez toutes ses dimensions, analysez toutes ses facettes... et passez à la haute gastronomie !
Voici quatre articles sur la construction de l'opinion du spectateur et la méthode du feedback artistique.
Une étude anthropologique sur les interactions de la culture et des musées Alors que nous sommes plongés dans un brassage inédit des civilisations et que nous baignons dans un plasma culturel planétaire, définir la culture légitime représente un enjeu primordial. Dans ce contexte les musées occupent une place déterminante. En deux siècles, ils sont devenus un acteur majeur de la culture et de la connaissance, une « matrice » de sélection et d’interprétation du patrimoine que les sociétés transmettront aux générations futures. Pour comprendre ce phénomène, Paul Rasse revient sur les conceptions historiques de la culture et sur leur évolution, jusqu’au melting pot de la mondialisation. Il se focalise ensuite sur les musées, montre quelles étaient leurs fonctions dans le domaine de l’art, de la science et de la technique et comment, alors qu’ils paraissaient condamnés par la modernité, ils ont su se réinventer en « média », jusqu’à devenir l’une des institutions culturelles les plus brillantes du moment. Décryptant les dynamiques de médiation, en particulier l’attention aux publics qui gagne progressivement tous les domaines de la création, l’auteur nous fait sentir de manière concrète comment les musées contribuent à la culture de notre société postmoderne.
La présente publication a vu le jour dans le cadre du programme «Médiation culturelle», conduit de 2009 à 2012 par Pro Helvetia. L’objectif était de renforcer la médiation culturelle en Suisse et également de contribuer à sa valorisation au niveau de l’encouragement de la culture. Le programme visait à susciter la création et les échanges de savoirs dans ce champ professionnel afin de contribuer à une pratique qualitative de la médiation.
Les dix droits du petit visiteur invitent les enfants à s’approprier le musée de manière vivante et décomplexée. “Museum-trotteurs” en famille, nous avons eu envie de fabriquer un poster et un petit carnet pour les enfants qui découvrent l’univers du musée. Le carnet des dix droits du petit visiteur est disponible en version imprimable gratuitement (by CC).
Comment agissent les enseignants, les formateurs, les médiateurs en situation d'apprentissage, de diffusion de la culture scientifique et technique ? Quels sont les gestes des professionnels de l’éducation, de la formation, de la médiation culturelle qui favorisent l’appropriation des savoirs ? L’engagement corporel dans l’activité éducative et formative est le fil conducteur de ces travaux de recherche. Des chercheurs de sciences de l’éducation, des historiens, un designer, des doctorants ont pu questionner la spécificité des gestes professionnels mobilisés auprès des apprenants en situation d’apprentissage. Les gestes professionnels apparaissent comme des arts de faire qui traduisent l’ingéniosité des acteurs cherchant à installer des conditions d’apprentissage favorables. La dimension corporelle de l’activité est souvent tacite et peu conscientisée alors qu’elle est perçue et interprétée par les destinataires. Les gestes professionnels recèlent des habiletés techniques, mais aussi des savoirs non verbaux qui façonnent la relation éducative.
Quel rôle spécifique jouent les guides pour faire vivre les lieux culturels ? Quelle place prennent-ils dans un dispositif plus global d'accompagnement ? Au-delà des pratiques de visite, cet ouvrage s'intéresse au rôle de la narration dans le partage des connaissances et dans le problème anthropologique et culturel de la construction des identités culturelles. Une des spécificités du récit 'incarné' de la visite guidée n'est-elle pas la prise en compte du visiteur dans le discours du guide, le partage émotionnel et la rencontre dans la construction d'un 'monde commun' où l'interprétation des lieux se construit à plusieurs ?
Cet ouvrage a pour objectif de dresser un état des lieux de la médiation culturelle aujourd'hui, des théories qui la guident et des pratiques qu'elle met en œuvre, en examinant ses origines et son fonctionnement actuel à travers des études menées aussi bien en France qu'au Québec ou en Belgique, dans le monde des musées comme dans les domaines du théâtre, de la musique, des bibliothèques ou du cinéma. Ce premier volume rassemble des interventions portant notamment sur les origines et les enjeux de la médiation culturelle aujourd'hui.
Cet ouvrage a pour objectif de dresser un état des lieux de la médiation culturelle aujourd'hui, des théories qui la guident et des pratiques qu'elle met en œuvre, en examinant ses origines et son fonctionnement actuel à travers des études menées aussi bien en France qu'au Québec ou en Belgique, dans le monde des musées comme dans les domaines du théâtre, de la musique, des bibliothèques ou du cinéma. Ce second volume examine les pratiques de la médiation culturelle dans les différents secteurs de la culture.
Les Petits Débrouillards Genève proposent aux enfants des activités scientifiques et techniques. Fournir aux jeunes de tous horizons l'occasion de se forger un regard curieux et informé sur le monde qui les entoure; contribuer à former des citoyens actifs, capables d'opinions réfléchies et critiques: la démarche Petits Débrouillards entend répondre à cet idéal.
Ce lexique a pour objectif de clarifier la définition, parfois floue, de termes couramment utilisés dans le milieu des arts de la scène, tels que 'producteur.trice', 'organisateur.trice', 'contrat de cession', etc...
Le Laboratoire des Médiations en Art Contemporain est un réseau de formation, d’expérimentations, de recherche et d'échanges autour de la médiation en art contemporain qui rassemble une cinquantaine de professionnels et de structures culturelles. Issus de centres d’art, musées, associations ou services culturels de collectivités locales, les médiateurs culturels se retrouvent deux fois par an dans le cadre de 'sessions plénières'. Ces temps conviviaux sont l'occasion d'échanger sur leurs pratiques professionnelles et d'initier des groupes de travail. Les actions de ces groupes, qui prennent différentes formes, sont le fruit d'un travail empirique. Le LMAC a par exemple initié un cycle de réflexion sur la médiation et le handicap visuel. Une expertise professionnelle concernant le numérique a également été mise en œuvre. Un groupe 'Ressources' a, quant à lui, été fondé afin de se concentrer sur les outils de médiation créés et proposés par le réseau.
Mediamus est l’association suisse des personnes et des institutions qui pratiquent la médiation culturelle dans les musées et dans les domaines apparentés. Ses membres créent des espaces de rencontre active avec la culture, l’art et la science.
L'association MARC est une instance de réflexion, d'échanges, d'information et de formation sur la médiation culturelle, ses fondements, ses métiers, ses pratiques, ses évolutions...
A travers une recherche-action, le projet entend identifier des solutions facilement extensibles et reproductibles, en mesure de rendre accessibles aux personnes aveugles et malvoyantes les principaux musées d’art de la Suisse italienne, en promouvant de cette façon le libre accès au monde culturel et artistique. En plus de la recherche théorique, qui comprend des approfondissements disciplinaires, une carte des bonnes pratiques suisses et étrangères et une enquête en profondeur auprès du public aveugle et malvoyant, le projet prévoit un parcours articulé d’expérimentation pratique, en particulier à travers l’exercice de multiples activités de médiation culturelle inclusives organisées en collaboration avec les partenaires du projet.
Ce site internet reflète les actions entreprises par la Ville de Montréal depuis 2005 pour réaliser ces objectifs de médiation entre le milieu professionnel de la culture et les citoyens, à la Direction de la culture et du patrimoine, sous la gestion de l’équipe de l’Action culturelle et des partenariats. On y trouve aussi une porte d’entrée vers d’autres secteurs de la Ville qui réalisent de nombreuses activités de médiation culturelle qui prennent diverses formes et ce, depuis plusieurs années : le Réseau des bibliothèques publiques de Montréal, le Bureau d’art public, le Bureau du loisir.
L'association Médiation Culturelle Suisse (MCS) met en réseau et soutient les organisations, les institutions et les personnes actives dans la médiation culturelle. Ses membres représentent les domaines culturels, artistiques, pédagogiques, les formations et la recherche liés à la médiation culturelle.
Der Verein Musikvermittlung Schweiz+ besteht aus einem 5-köpfigen Vorstand und institutionellen&privaten Mitgliedern.
Comment le numérique bouscule-t-il les pratiques professionnelles des acteurs ? Qu’est-ce que cela modifie dans les postures d’animation ou de médiation ? Comment cela interroge-t-il les territoires d’intervention et les réseaux d’acteurs ? Quels nouveaux métiers émergent ? Pour quel rapport au public ? Ce numéro propose d’étudier les interactions entre les pratiques d’éducation populaires et le développement de politiques publiques soutenant la médiation numérique. Ce faisant, il donne à voir la variété des défis que les acteurs tentent de relever et l’importance des dynamiques collectives. Il y est question d’espaces d’engagement et d’apprentissage autour du numérique (tiers-lieux, territoire numérique, espace public numérique, fablabs, bibliothèque…), mais aussi de pratiques éducatives augmentées d’expériences collectives et de nouveaux outils.
Pour peu que l’analyse s’installe au milieu des échanges qui construisent les mondes de l’art et le rapport qu’entretiennent les publics aux œuvres, elle rencontre aujourd’hui un mot qui la travaille : médiation. Et si l’on arrêtait un instant pour mesurer la capacité de ce terme à nous aider lorsqu’il faut étudier des pratiques et des dispositifs culturels ?
Mémoires d'ici est le site internet du centre de recherche et de documentation du jura bernois, qui a pour mission de conserver et mettre en valeur le patrimoine historique et culturel du jura bernois. Il conserve les écrits, les images et les sons qui témoignent de l’histoire et de la culture de la région et de sa population.
Dans le cadre de ses projets en médiation culturelle, la Ville de Saguenay au Québec, en collaboration avec la table de concertation en théâtre, s’est penchée sur les besoins immédiats des organismes théâtraux de la région en matière de médiation. Il fût convenu qu’un guide démystifiant, proposant et illustrant de véritables enjeux de la médiation en théâtre serait bénéfique afin d’éclairer les artistes de scène susceptibles d’ajouter ou de bonifier ce pan de leurs interventions artistiques. Ce mini-guide, destiné au milieu théâtral, propose des définitions et des exemples concrets de médiation issus du domaine théâtral québécois. Il se veut un premier pas vers la compréhension et l’utilisation sans retenue de l’acte de médiation en théâtre.
Un bref document indiquant les différentes possibilités de rémunérer des personnes.
Musée 21 est le magazine de Culturespaces dédié aux professionnels du secteur culturel. Nous donnons la parole à des experts reconnus ainsi qu’à une nouvelle génération d’acteurs qui parlent du musée de demain.
Museums are using games in many ways – for interpretation, education, marketing, outreach and events. Museums at Play showcases tried and tested examples from the sector and seeks to inspire further informed use of games as part of the museum toolbox. It also draws on relevant experience from other sectors, and on the experience of game designers and theorists. It looks at learnings from other disciplines and explores the opportunities for interaction using gaming within museums. Richly illustrated, Museums At Play is written by leading museum specialists from world-class institutions and specialists from Belgium, Canada, Denmark, Germany, Greece, Iceland, Italy, Mexico, New Zealand, Norway, Portugal, Spain, Turkey, UK and USA. In over 40 chapters and more than 650 pages, the book provides an extraordinary overview of the development, use and evaluation of games within museum and cultural contexts.
Le fOrum culture se réjouit de présenter et de mettre à disposition son outil d'éco-bilan. Destiné aux lieux culturels comme aux professionnels des arts vivants, cet outil a été pensé et mis sur pied à la commission éco-création. Notamment soutenue dans cette démarche par sanu, la commission éco-création met gratuitement à disposition des membres cet outil. L'outil du fOrum culture a été présenté dans le cadre de la rencontre 'Pour toujours plus de durabilité dans les arts de la scène' qui avait lieu le 18 septembre à Bienne. En partenariat avec Incubo, le fOrum culture présentait les outils et projets pour plus de durabilité dans les arts de la scène, développés ces deux dernières années au niveau régional et national.
Outil de calcul de coût de cession d'un spectacle mis en place par la Cie Moost dans le cadre d'un projet de transformation.
« La danse c’est...» est un outil de médiation créé pour rendre les spectacles de danse accessibles et questionne en posant des questions sur : • les informations liées au contexte d’une représentation, • la description ciblée des éléments constitutifs d’une mise en scène, • les réactions personnelles à ce qui est perçu. « La danse c’est...» sert à préparer et surtout à approfondir le suivi d’une représentation, quel qu’en soit le style.
La participation culturelle renforce le vivre-ensemble et la cohésion dans une société marquée par la diversité et l’individualité. La promotion de la participation culturelle nécessite la mise en œuvre d’une variété d’approches et de mesures, qui doivent à la fois atteindre et inclure les différents groupes de la population. Elles vont de la médiation culturelle au soutien de la culture amateur, en passant par la suppression d’obstacles à l’accessibilité pour des publics spécifiques. La présente publication est consacrée aux objectifs et aux divers aspects de la promotion de la participation culturelle.
Pourquoi la médiation et quels sont les objets de médiation ? Qu'est-ce qui fait médiation ? En quoi les médiations sont-elles complémentaires ? Aujourd'hui, le 'consommateur' de culture(s) ne peut plus être compris dans sa seule posture de réception. Cet ouvrage met un focus spécifique sur les nouvelles et nécessaires approches de la médiation que ces mouvements imposent, et croise les regards d'artistes, de publics, d'acteurs culturels, sociaux et chercheurs.
12 activités ludiques à faire en famille au musée : mimer une sculpture, inventer des dialogues, chantonner devant un tableau et autres bonnes idées… Tout le monde peut jouer aux muséojeux : parents, nounous, ados, enfants, grand-parents, cousins, copains, copines…
Le guide « Pour une sortie culturelle accessible » comble un manque. En se mettant dans la peau de visiteurs avec différentes formes de handicap, il montre ce qu’il faut pour rendre une sortie culturelle accessible, de la recherche d’informations au trajet de retour, en passant par l’accès aux contenus d’une représentation. Le guide montre de manière pragmatique comment lever les obstacles pour toutes les formes de handicap. Par exemple : rendre son site web accessible à des visiteurs aveugles, organiser avec succès une interprétation en langue des signes d’un spectacle, ou proposer des accompagnateurs culturels aux personnes en situation de handicap qui désirent se rendre seules au théâtre.
Cette article aborde la question du rôle des pratiques culturelles dans la production du lien social qui s'est trouvée déplacée à partir du moment où l'Etat a entrepris une politique volontariste en matière d'interventions culturelles.
Cette édition de l’ouvrage Sciences de l’information et de la communication s’adresse à tous ceux (étudiants, enseignants, praticiens) qui souhaitent mieux connaître ces sciences et leurs apports. Sont d’abord présentés les principaux objets sur lesquels portent les travaux de recherche actuels dans le domaine de l’informationcommunication. Les savoirs développés au sein de cette discipline font également l’objet de présentations synthétiques qui les rendent accessibles à un large public. Avec cet ouvrage, le lecteur dispose ainsi d’un vaste ensemble de contributions qui répondent à un double objectif : mettre à sa disposition tous les outils d’analyse nécessaires pour dépasser les préjugés ordinaires sur la communication ; comprendre le rôle qu’elle est amenée à jouer dans notre société.
Le domaine des médiations patrimoniales est aujourd’hui largement affecté par l’introduction des médias numériques, parce que ces derniers favorisent le développement d’autres dispositifs pour la découverte patrimoniale, parce qu’ils transforment la circulation sociale des objets patrimoniaux à travers la construction et la diffusion de leurs images numériques, parce qu’ils ouvrent de nouvelles possibilités d’échanges documentaires. C’est ainsi la manière de rendre visibles, manipulables, interprétables les patrimoines, dans différentes situations d’usages, qui se trouve mise à l’épreuve.
Article synthétisant les missions et les défis rencontrés dans le domaine de la médiation culturelle. Cap ou pas cap est une association qui agit pour que le plus grand nombre de citoyens s’engagent dans des actions alternatives qui construisent une société humaine, écologique et solidaire.
Ce livre au carrefour de la muséologie et des sciences de l'éducation, sera un outil indispensable aux enseignants voulant réaliser des sorties dans des musées ou des projets associant l'Ecole et le Musée. En effet, il apporte une contribution à l'étude des relations entre l'Ecole et le Musée et renouvelle largement la problématique autour de la rencontre entre ces deux institutions. Après une analyse de l'évolution des relations entre l'Ecole et le Musée, l'auteur propose et présente une recherche-action sur l'apprentissage par les élèves de la lecture de l'exposition.
Cet article se propose d’interroger l’identité professionnelle des acteurs de la médiation culturelle. Il se propose d’envisager moins le métier de médiateur culturel que les emplois de la médiation culturelle. Il s’attache ensuite à restituer l’image que les médiateurs ont d’eux-mêmes et les “ordres de grandeur” auxquels ils se réfèrent. Enfin il montre, pour finir, l’émergence de la médiation culturelle comme production de service : à l’instar du tournant amorcé par l’ensemble des organisations, les institutions culturelles et les services culturels des collectivités territoriales ont mis le public au centre de leurs préoccupations dans une visée à la fois marchande et sociale. Ce triple plan de la médiation (les niveaux culturels, marchand et politique) nécessite une formation qui dispense à la fois une culture générale mais aussi des savoirs spécialisés.
Regards Neufs a pour objectif l’accès à la culture cinématographique aux personnes déficientes visuelles ou auditives.
Le domaine des médiations patrimoniales est aujourd’hui largement affecté par l’introduction des médias numériques, parce que ces derniers favorisent le développement d’autres dispositifs pour la découverte patrimoniale, parce qu’ils transforment la circulation sociale des objets patrimoniaux à travers la construction et la diffusion de leurs images numériques, parce qu’ils ouvrent de nouvelles possibilités d’échanges documentaires. C’est ainsi la manière de rendre visibles, manipulables, interprétables les patrimoines, dans différentes situations d’usages, qui se trouve mise à l’épreuve.
Fondée en 2006, Reso a pour but de renforcer la coordination nationale de l’encouragement de la danse en tant que discipline artistique lui donnant ainsi d’importantes impulsions de développement. Depuis 2014, l'association est reconnue comme organisation à but non lucratif.
Le Réseau romand Science et Cité (RRSC) est une association indépendante, active depuis 2002 dans le champ de la culture scientifique et technique. Le RRSC collabore en qualité d’antenne régionale avec la Fondation Science et Cité, qui est le centre de compétence pour le dialogue sciences-société au sein des Académies suisses des sciences.
L'Observatoire des politiques culturelles est un organisme national qui travaille sur l’articulation entre l’innovation artistique et culturelle, les évolutions de la société et les politiques publiques au niveau territorial. Par l'organisation d'études, de séminaires de rencontres, d'informations et de formations continues, l’OPC exerce un rôle d’éclaireur pour un large cercle de professionnels des arts et de la culture, d’experts et d’élus.
Le droit suisse (CC art. 60-79) laisse une grande liberté aux associations sur la façon dont elles veulent s’organiser et sur la forme et le contenu des statuts. Les exemples de statuts types suivants sont accompagnés de commentaires. Ils ont été réalisés par Vitamine B.
Fin novembre 2019, Médiation Culturelle Suisse, mediamus et startcamp.ch ont proposé la rencontre «Third Places – nouvelles formes et nouveaux espaces de rencontre dans les institutions culturelles» au Muséum d’histoire naturelle de Genève. Ce document donne un aperçu des conférences et des séances tenues pendant ces deux jours.
Zone Occupée est une revue d’art et de culture actuelle biannuelle qui présente et analyse le travail des artistes de la région du Saguenay–Lac-Saint-Jean. Au-delà du simple magazine, elle s’impose comme outil de référence autant pour les jeunes artistes que pour les artistes professionnels qui œuvrent en région éloignée des grands centres. Se divisant en plusieurs sections traitant des arts et de la culture, chaque parution de Zone Occupée se veut une réflexion sociologique et artistique thématique axée sur le monde culturel régional.